Banque

Marianne le regarda faire
*Habille....*Elle sourit et le rattrapa:-Tu penses que tu peux avoir l'air de Gilles?demanda-t-elle en parlant du garde.
-Tu ne peux pas rentrer sans les codes et les clés...Dit-elle fière de savoir cela.

- Tu me prends pour un idiot?
S'arrête devant une porte et passe sa carte, la porte s'ouvre et il entre. Rapidemement il se faufile entre les employés et s'assoit derrière un ordinateur. Il tape pendant quelques minutes sur le clavier et se lève satisfait. Il retourne dans la banque devant le comptoir.

*cinq minutes, c'est totu ce qu'il me faut*

Marie n'allait tout de même pas le laisser faire comme ca!Elle le rattrapa pris son bras malgré qu,il soit au moins une tête plus grande que lui et lui dit:-Et les clés?Gilles ne les as pas...Seule les gens importants en ont...
Elle regarda discretement son pendentif cleui-ci s'ouvrait et a l'intérieur il y avait une photo de son frère et la clés...Puis elle fixa le garçons d'un air de défi puis lui tendit sa main en disant:
-Moi c'est Marianne et toi?Elle se doutait qu,il n'était pas asser bête pour le lui dire alors elle continua:-Si tu ne me le dit pas je trouverais moi-même....Tu sais j'ai des contacts partout....

- Je te garanti que si tu fais rater mon plan je te descend

Murmura-t-il. Après toutes ces années d'expériences il n'allait pas laisser sa carrière être gâché par une insignifiante fille. Après lui avoir dit ça il se dirigea vers les comptoirs et emprunta une autre porte. Il descendit quelques gardes, la foule commença à s'affoler mais les portes étaient fermées, les caméras de surveillances hors-service et l'alarme ne fonctionnait pas. Sans trop de problème Xavier se rendit au coffre fort.

*Manière forte ou manière douce?*

Il s'approcha du cadavre d'un des gardes et lui plaça la main sur le système de sécurité.. Après peu de temps il se retrouva devant l'argent

*Merde* pensa Marie *Bof et puis pour ouvrir les comtes il lui faut une des 3 clés...Il ne réussiras pas...Puisque j'ai la seule du coin..*

Marie arriva derrière lui et pris son bras et dit bas a son oreille:
-Je penses que tu as queqlue chose qui nous appartient....Tu pourrais allaer reportez tout cela gentillement dans les coffres....Elle lui fit un prise il ne pouvait pas bouger elle le tenait et elle commenca doucement a tordre son poignet espérant qu'il se rende.Avec son autre main elle pris son fusil et le lanca loin a l'autre bout de la pièce ou il fut récupérer par une caissière.

Il eu un sourire malicieux
Tu ne sais vraiment qui je suis c'est évident
Il réussi à donner un coup de pied vers l'arrière pour la faire reculer et parti en courant, les différents entraînements de son père auquels il avait assité l'aidait apparament

Malheuresemnt pour Xavier la police arriva quelque secondes par la suite et Marie leur montra Xavier qui se sauvait la police l'attrapa et lui mit des menotes.Marie s'aprocha donna l'argent a l'une des caissière qui alla le remmetre dans les coffres.Marie s,aprocha des policiers qui venait de mettre Xav dans une des autos puis ils hochèrent la tête firent sortir Xav lui enlevèrent ses mennotes et le laissère avec Marianne celle-ci sourit gentillement et dit tout simplement:
-Ne refait jamais ca!Sinon tu auras de sérieux ennuies!Moi c'est Marianne !Puis elle lui tendit sa mains.

Étrangement il ne le prit pas mal et sourit en lui serant la main

- Moi c'est Xavier

*Sa m'apprendra à ne pas planifier correctement...la prochaine fois je m'arrangerais mieux*

-Enchanté!Tu vas à qu'elle école?Faut dire que t'as le pas vraiment le choix...L'écoel de riche,tu y vas surement pas si t,essaie de voler la banque, et Pain....Je te sugere fortement de pas tro pfaire chier la directrice....Moi chu sa soeur et elle est vraiment chiante!dit-elle avec son petit sourire mystérieu.Marianne semblait toujours cacher quelque chose.

- Je suis sensé logiquement allé à Pain et je vole pas une banque pour l'argent
Répondit-il en perdant son sourire retrouvant son air neutre habituel

-Si tu ne vole pas pour l'argent tu voles pour quoi?demanda Marie l'air perplexe.Elle regarda Xavier il n,était pas si laid contraireemnt au boutoneux de l'école...

- Pour comprendre les failles des systèmes...contré les plus hautes technologies...

Il ne semblait même pas porter attention à Marianne

-Ouai c,es tvrai que icite on n'a pas vraiment un système difficile a battre...ON vas tenter de l'améliorer bientot...C'est que les gens ici sont pas trop riche et en plus la plupart sacre leurs camps...dit-elle avec un petit accent
-passant tu viens d'où?

- Je viens de Londre

Il entendit quelque chose derrière lui, i les retourna et reçu une violent coup au visage. Xavier tomba par-terre et releva la tête.

*Oh non...pas lui*

- Mais qu'ets ce que ta encore fais!?

- D'après toi

Il se releva mais reçu immédiatement un autre coup pour retomber sur le sol

- C'est pas comme ça que je t'ai élevé!!

- Si tu le dis...mais comment t'as fait poru arriver aussi vite?

- On s'en fiche! T'es pas ici pour voler des banques!

- Laisse moi tranquil pa...

Marie compris tout de suite que cette homme était le père de Xavier il n,avait surement pas appercu la jeune fille pour frapper son fils ainsi.Elle l'aida à se relever il avait le nez en sang.Elle lui tendit un mouchoir qui venait de sa poche et l'aida à arrêter le saignement.
*Les cours de secourisme me serves enfin...*
Elle dit sur le coup:
-VOUS ÊTES MALADE OU QUOI!Y'A RIEN FAIT!dit-elle pour le défendre.Marianne apréciait asser ce nouveau,pas boutoneux

-La police voyons!Y ont aucune rasion de m'envoyer la-bas...Après tout!dit-elle éfronté.

- Mais vous allez arrêtez!

- Xavier, viens par ici, je dois te parler...en privé

Il suivit son père un peu plus loin et se fit engueuler, apèrsquelques coups il retourna seul vers Marianne

-C'tait ton père ca?Pas super....Dit-elle en essuiant le sang qui coullait sur sa machoire.
-Ca vas mieux-la?

- C'est lui...
Il sourit en la regarda
- Ça va mieux...merci

-Pauve toi!Moi mon père me laisse au moins la paix!Elle lui sourit triste pour lui,mais contente qu'il aient mieu.-Vas te falloir mettre de la glace...Viens j'en aie surement chez moi!

- C'est pas nécessaire...c'est presque rien
Il était habitué à ça mais était persuadé en allant à Pain que sa arrêterait ce qui malheureusement n'avait pas été le cas